Suite de la rocambolesque histoire de Fanta : Chapitre 3


Ma relation avec Atou durait maintenant trois mois. Il était tout le temps chez nous. Je ne pouvais plus me passer de lui et lui de moi. Il s’arrangeait de telle sorte à être toujours à coté de moi.
Entre le lit et le fauteuil il y’avait un espace. C’est lui qui me disait de m’asseoir a coté de lui. Mon Dieu, je ne me respectais plus. Je ne voyais que lui.
Un jour j’étais assise à coté de lui comme d’habitude quand soudain j’ai sentis sa main qui me caressait les parties intimes. Je ressentais du plaisir quand il me pénétrait avec ses doigts. J’étais submergé de plaisir et je ne pouvais pas l’exprimer parce qu’il y’avait du monde autour de nous. Je sentais monter en moi un orgasme et j’avais trop chaud. Je tremblais des pieds et tout à coup ma mère m’appel et je répondis effrayée car je croyais qu’on nous avait découvert.
Heureusement que ma maman ne nous ne savait rien encore.
Atou et moi vivions cet amour caché de tout le monde. Nous n’avions pas encore de relation sexuelle. J’avais peur de passer à l’acte et lui il m’en voulait de ne pas coucher avec lui.
Il me faisait du chantage pour que je couche avec lui. Il disait qu’il allait me laisser tomber.
Je me souviens qu’un mercredi je ne l’avais pas vu durant toute la journée. Alors j’ai pris mon courage à deux mains et je me suis dirigeais chez lui. Arrivé devant sa chambre, je frappais timidement et là j’entends sa voix grave que j’aimais trop.
J’entre dans sa chambre et le trouve seul couché dans son lit.
Je lui fis timidement une bise, mais il n’a pas voulu que je lui fasse une bise.
Affolée, je lui demandais ce qui se passait. Il me répondit qu’il ne pouvait plus continuer cette relation avec moi car il avait besoin de me faire l’amour.
Il disait qu’il allait me laisserait tomber si je ne couche pas avec lui. Je commençais à pleurer.
Il se leva alors et me pris dans ses bras. Il m’embrassa et je l’entendis me promettre de m’épouser après mes 18 ans. C’est alors que j’ai consenti à ce qu’il me fasse l’amour.
Il me déshabilla et j’eus peur à cause de sa femme. Il me rassura en me disant que sa femme n’était pas à la maison.
Alors je le laisse faire. Il me touchait et m’embrassait. C’était la première fois qu’on était si intime. Soudain j’ai senti qu'il était en train de réellement passer à l'action. J’avais trop mal et je criais de douleur. Il était excité et était dans tous ses états.
J’avais le vertige et tout à coup je ne le sentais plus bouger. Il avait joui.
Il se redresse et commença à m’embrasser. Il me murmurait à l’oreille qu’il m’aimer.
Mais moi j’avais trop mal. Je ne pouvais pas me lever. Alors il prend un tissu pour me nettoyer les parties intimes.
Apres son acte, il m’aida à me lever.
Je rentrais alors chez moi le cœur meurtri. Je venais d’être une femme…

Quatre jours sont passés depuis le fameux jour où Atou me vola ma virginité. Je n’avais plus mal aux parties intimes. Je l’aimais et il était follement amoureux de mon corps. J’étais celle qui pimentait sa vie sexuelle. J’étais sa passion interdite. J’étais en fait devenue son objet sexuel. Il me guettait partout et me prenait dans ses bras à la moindre occasion. Je commençais à prendre gout à ses caresses.
Un jour, après ma sortie du lycée, je voyais surgir prés de moi une voiture de l’armée. C’était Atou. Il me demanda de monter dans la voiture et je le suivis sans hésiter.
Atou conduisait la voiture de l’armée qui prenait la direction de la mer. Arrivé à la plage, prés des filaos, il coupe le moteur et me demanda de descendre. Ce que je fis.
Il prit alors ma main et me dirigea au cœur des filaos. J’avais un peu peur mais il me regarda droit dans les yeux et me dit « j’ai envie de toi ».
Mon cœur se mit à battre la chamade. J’étais un peu perplexe. Il avait avec lui un sac de couchage. Il m’invita à m’asseoir sur le sac de couchage.
Il commença alors à m’embrasser et je lui rendis ses baisers. J’étais insouciante. Il me déshabilla et me caressait partout le corps. Je répondis à ses caresses et lui parla amoureusement. Cela l’excitait et le rendait fou de désir.
Il prit alors un comprimé et l’enfonça dans mon sexe. Je lui demandais pourquoi il faisait cela et il me répondit que c’était pour que je ne tombe pas enceinte. Il me pénétra alors. Il allait et venait entre mes reins. J’avais moins mal que la première fois.
Dés qu’il eut joui, il se releva et me couvrit de baisers.
Je commençais alors à pleurer de chaudes larmes. Il me demanda pourquoi je pleurais et je lui répondais que c’était parce que je l’aimais. Mais au fond de moi je pleurais surtout parce que je savais que j’étais devenue sa chose, son objet sexuel.
Il me parla  avec amour et me fit beaucoup de promesses. Et moi naïve que j’étais, je gobais tout ce qu’il me disait.
Vous qui me lisez en ce moment, sachez que me souvenir de mon passé n’est pas du tout facile pour moi. J’ai trop mal et je pleure sans cesse. C’est éprouvant pour moi de raconter tout cela, mais j’ai voulu partager cette partie sombre de ma vie afin qu’il serve de leçon à celles qui me liront.
L’amour me rendait plus sexy et plus attirante. Atou n’avait d’yeux que pour moi. Il me dévorait des yeux même lorsque nous étions devant des gens.
Un jour alors que j’étais seule dans le salon, il me prend par derrière. Je proteste et lui demanda d’arrêter mais il ne m’écouta pas et me viola.
J’avais mal et je pleurais. J’étais impuissante face à lui. J’étais sa chose.
Il me calma et m’annonça qu’il partait en mission durant une semaine. J’étais anxieuse du fait qu’il partait.
Je me souviens que cette année là, je ne me suis pas concentré sur mes études car je pensais tout le temps à Atou. Je ne mangeais plus et je ne dormais plus. Je pensais sans cesse à lui.
Mon Dieu j’étais amoureuse, éperdument amoureuse de lui. Je commençais même à perdre du poids.
Un soir, comme par miracle, j’entendis sa voix. Il était là et mon cœur palpitait. Je sors de la chambre et me retrouva nez à nez devant lui. Il me poussa vers la chambre, m’embrassa et me chuchota à l’oreille « à demain ».
Mon Dieu comme je l’aimais !
Le lendemain, je l’ai guettais durant toute la journée. Mais il ne vint pas. J’avais même raté l’école à cause de lui. Mais où était-il ?
Vers 21 heures, je vois sa femme débarquait chez nous. Elle salua mes parents et me regarda avec haine.
Soudain j’eu peur. Pourquoi ce regard plein de haine ? Alors je sortis précipitamment de la chambre rempli de menace pour moi...

A Suivre...

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